Note : quant aux carburateurs d'origine …. Cela serait des Sus, mais j'ai trouvé un article qui parle de Solex, et au salon de Paris en Octobre 53, l'Automobile déclare un seul Solex ! ! ! !), mais le journal " The Autocar " d'octobre 1952 annonce déjà deux carburateurs et l'éclaté de la 20TS dans le chapitre précédant montre bien deux carburateurs Sus…
Le journal français ne semblait pas être très intéressé par la TR ! Pour de telles erreurs aujourd'hui, le journaliste serait envoyé en vacances prolongées.

La TS1 fut envoyée à Montréal, puis a parcouru les 600 km qui séparent Montréal de Toronto pour le Motor Show du Canada.

La TS2 a été livrée en Irlande, maintenant elle est la propriété du TR Register UK et a été entièrement restaurée conformément à l'origine. Vous trouverez son histoire au chapitre 10, à la rubrique TS2 et aux 50ans de la TR.
Fin 53 la TR2 est prête et pour en faciliter la commercialisation les salons ne suffisent, il faut aussi qu'elle fasse ses preuves en tant que voiture sportive. … Ce fut Jabbeke puis le début des épreuves sportives, rallyes et autres courses. Les premières compétitions auxquelles participa la TR2 furent le Mille Miglia de 1954 et le R.A.C Rally (Mars 54). Les résultats du R.A.C Rally, qui conditionnaient beaucoup la campagne de vente de la TR2 furent un succès exceptionnel, ce qui lança incontestablement les ventes de la TR2.
Pour les Mile Miglia, OVC 276 était conduite par Gatstronides et Richardson. Pour sa première compétition la TR2 finit 7ème de la classe des 2 litres (il faut se souvenir qu'elle courrait avec des Ferrari et Maserati 2 litres) et 27ème du classement général à la moyenne de 72.1 miles/heure.
Le succès aux Etats Unis, marché cible de la TR, fut également immédiatement au rendez-vous.